Comment améliorer ta gestion de projet

JC Lazure

Je voudrais te dire ici que ce que tu vas lire dans cet article est basé sur les observations et sur les expériences que j’ai vécues personnellement en faisant des projets de construction commerciale, mon domaine depuis plus de trente ans.

Certaines bases de la PNL sont particulièrement intéressantes à considérer pour mieux comprendre comment interagir avec tes collaborateurs.

Le but de ce que tu vas lire ici n’est pas de te former pour devenir un coach de PNL, c’est une approche trop complexe pour discuter de ça ici. Mon but est de te montrer qu’avec la seule base de certaines notions de la PNL, les résultats sur ta gestion de projets seront améliorés comme par magie. C’est ce que j’appelle la Méthode Berlaz.

Il ne faut pas non plus que tu en tires une théorie quelconque ni aucune généralisation qui pourrait conclure sur ce qu’il faut faire et ne pas faire dans telle ou telle situation. L’automatisme va se développer en toi et tu verras à l’appliquer selon le temps et les circonstances du moment.

Les idées que je te présente sur ce blogue illustrent comment certaines personnes ont réagi, lorsqu’elles ont été impliquées dans les phases de la gestion de projets.

Je ne te donne aucune certitude sur ce qui doit être fait. J’ai seulement expérimenté des manières de faire qui produisent des résultats appropriés aux objectifs. Il s’adonne que ces manières sont en partie explicables par la PNL, donc, reconnues par la science.

De même, ce que j’exprime sur ce blogue est la conclusion de mes apprentissages et des expériences personnelles auxquelles j’ai été confronté. En aucun cas tu ne dois prendre ces affirmations pour une règle infaillible.

Je sais que la tentation existe de dire que ce qui a bien fonctionné dans une situation doit être établi en règle absolue : copier/coller, comme on dit. Mais, ce n’est pas le cas, car tu dois savoir que rien n'est réellement du copier/coller dans la vraie vie.

Une relation de confiance et de respect doit s’installer, ce qui place ton collaborateur dans un état de réceptivité favorable pour une communication efficace.

Tu dois aussi te rappeler qu’en matière de communication, l’autre détient aussi sa vérité et qu’elle est aussi valable que la tienne. Si tu rejettes la vérité des autres, ils peuvent l’interpréter négativement et adopter à ton égard des comportements néfastes.

Tu risques à ton tour d’interpréter ces comportements comme autant de marques d’hostilités. Une relation de conflit peut alors s’installer, qui, selon moi, a peu de chances de déboucher sur une collaboration efficace. À l’inverse, si tu cherches à comprendre l’autre, à entrer dans son monde, tu fais un pas vers lui.

Tu t’enrichis d’une foule d’informations que te livre ton interlocuteur. Tu apprends à comprendre comment il perçoit le monde, et ce que tu dois lui dire pour que la communication soit efficace.

Notre carte du monde est unique.

Notre représentation de la réalité n’est pas la réalité ; elle est une réalité parmi d’autres perceptions possibles, parmi d’autres « cartes du monde ».

On pense trop souvent, que la vision du monde que l’on a correspond à celle qu’ont les autres. C’est une confusion entre la carte et le territoire.

Si tu prépares un voyage de pêche avec un ami par exemple, la carte que tu auras achetée, est une représentation du territoire où tu vas, mais, c’est selon l’interprétation du géographe qui l’a tracée que tu bases ton parcours et non le territoire comme tel. Tu n’es pas encore sur ce territoire.

Ça fait la différence parfois pour certains détails que tu remarqueras toi et que tu ne retrouves pas nécessairement sur la carte que tu as entre   les mains. La représentation d’une chose, ou d’un événement, est donc conséquent à la perception que l’on a de l’objet en question.

Tu peux bien être persuadé de comprendre la personne devant toi, mais ce n’est pas nécessairement le cas, si tu n’accèdes pas à sa carte à lui. Des conflits peuvent alors éclater. La PNL, en te permettant de t’apercevoir de cette erreur, t’offre la possibilité de mieux communiquer avec les autres.

Ce sont nos émotions qui génèrent nos actions. La maturité émotionnelle est essentielle pour communiquer avec les autres.

C’est dans ta capacité à être attentif à toute la gamme possible des émotions que tu vas la trouver. L’incapacité d’une personne à faire cela est une mesure précise de son degré d’immaturité émotionnelle, quelles que soient les apparences sociales.

Tu vas remarquer que cette immaturité va se manifester par différentes formes et niveaux de défense, par des apparences trompeuses, du sabotage comportemental, des choix restreints et même de la tristesse.

La communication verbale ne compte que pour 7 % de toute la communication : nous devons aussi tenir compte du 93 % qui reste.

« Il faut se méfier de la première impression, c’est toujours la bonne ! » disait Jean Cocteau. Et c’est vrai ! Lors d’une première rencontre, avant même le premier échange de parole, on juge l’autre sur sa prestance, sa manière de s’habiller, de se comporter dans l’espace, ses gestes. C’est ce qu’on appelle la communication non verbale. 93 % de la communication passe par des éléments non verbaux et seulement 7 % par le sens des mots.

Il ne s’agit pas ici de donner des recettes. Il faut juste que tu en viennes à maîtriser différents éléments pour que l’attitude coïncide avec le type de discours et ne vienne pas le démentir !

Quand tu rencontres de nouveaux collaborateurs, ta gestuelle, ton attitude, ton regard, ta tenue en disent bien plus que les mots en agissant comme vecteur inconscient de tes émotions !

"LA MÉTHODE BERLAZ".

Le livre qui explique plus en détail l'utilisation de la PNL dans la gestion de projets.


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Jean-Claude est un gestionnaire de projets de construction commerciale avec plus de 30 années d’expérience, se définissant comme un Facilitateur de Projets.
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