70 % des projets ont tendance à échouer

JC Lazure
Selon l’étude Pulse of the profession 2018 du Project Management Institute (PMI) réalisée auprès de 5 402 entreprises, 70 % des projets ont tendance à échouer.

Ce n’est pas rien !

Il doit bien y avoir une raison. Est-ce à dire que seulement 30 % des projets réussis avaient des gestionnaires qui savaient quoi faire ?

Il faut vraiment se poser la question. Est-ce possible que les responsables dans le 70 % des projets qui échouent, malgré le fait qu’ils travaillent plus de 60 heures par semaines, et même pendant les week-ends, et qu’ils arrivent à peine à garder la tête hors de l’eau, ne sachent pas quoi faire ?

Tandis que ceux qui gèrent le 30 % des projets réussis et qui sont en harmonie avec leur vie personnelle et les gens de leurs équipes savent quoi faire.

Pourquoi certains gestionnaires de projets sont-ils capables de travailler des heures raisonnables pour accomplir leur besogne et d’autre pas ?

Beaucoup de chargés de projets mettent le blâme sur le marché dans lequel ils font leurs projets, celui de la construction pour notre part, qui est exigeant et sans pitié avec ceux qui ne livrent pas ce qu’ils ont promis de livrer.

Quand on blâme le contexte exigeant de cette industrie, on joue à l’autruche, on se cache la tête dans le sable, en pensant être protégé de tout danger. J’entends souvent des gens dire : "c’est un domaine tellement compétitif et les marges d’erreur sont tellement minces, qu’on n’a pas le temps de faire les choses comme ça devrait".

Pourtant, certains arrivent à livrer tous leurs projets selon le temps alloué, le budget attribué et la qualité recherchée. 

Qu’est-ce qu’ils font de différent ?

Le point majeur à retenir ici, c’est que ce n’est pas parce qu’on est un spécialiste dans un domaine, en ayant toutes les connaissances techniques, qu’on devient automatiquement apte à gérer des gens du même domaine. 
Un chargé de projets peut avoir toutes les connaissances académiques nécessaires pour effectuer son travail, mais ça ne garantit en rien qu’il puisse mener les membres de son équipe à faire de leur mieux pour livrer son projet.

Tu peux accéder à ce compte-rendu d'un rapport de thèse de
l'ÉTS sur ce sujet en cliquant ici.

Je suis convaincu que tu as les connaissances académiques nécessaires pour effectuer ton travail, mais, tu ressens le besoin de peut-être de bénéficier d’une forme d’aide pour améliorer ta qualité de vie lorsque tu fais tes projets, c’est pour ça que tu es à la bonne place sur notre site.

Depuis le temps que je suis dans la gestion de projets de construction, j’ai accompagné de nombreuses équipes dans la conduite de ceux-ci.

Je peux donc te confirmer que ce que l’on applique pour favoriser une bonne communication entre les individus donne des résultats identiques lorsqu’on les applique à des groupes d’individus qui interagissent, comme c’est le cas dans une équipe de collaborateurs dans un projet de construction.

Tu dois aussi comprendre qu’un projet, ça commence par une intention, par une idée, dans la tête de quelqu’un. Pour que cette intention se transforme en réalité, il faut avoir envie qu’elle devienne réelle
À travers tout ça, tu dois trouver et mobiliser l’énergie pour passer du stade de l’intention, ou d’idée, à celui de la réalité. Ce sont les ressources que tu trouveras dans l’énergie de ton équipe, qui vont t’accompagner dans la réalisation de ton projet.
C’est ce que tu apprendras tout au long de ta lecture sur ce blogue. Ou tu peux accéder à plus de détail en commandant le livre ici-bas.
Jean-Claude est un gestionnaire de projets de construction commerciale avec plus de 30 années d’expérience, se définissant comme un Facilitateur de Projets.
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